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Par Alexandra-chan le 14 Avril 2018 à 18:07
Les mots m’entrainent
Les mots me bercent
Les mots se perdent
Les mots reviennent
Sur toute ma vie, je les déverse
Toute la terre, ils la traversent
C’est des vies qu’il crée, des histoires qu’ils racontent
C’est l’histoire de ma vie, l’histoire d’une rencontre
Et ils tournent, s’abattent, s’entrechoquent
On les regarde ébahis encore sous le choc
J’aime voir leur jeu ou il se pays ma tête
J’aime les voir alors je m’entête
Je les prends, les assemble
Ils se débattent, me font des contres
Je prends des coups, je m’acharne
Je ne laisserais pas tomber, ébloui par leur charme
Je vous aurai, ne vais pas pliez
Jouez jouez, continuez à me tenter
Ne me laissez pas souffler, c’est cette vie qui m’est destinée
Mots si complexe, je vous ai trouvé
Assemblez-vous, réveillez-vous
Recherchez-vous, retrouvez-vous
Frissons qui me parcourent, pourquoi êtes-vous si cours
Voilà mon cours, suivez mon parcours
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Par Alexandra-chan le 14 Avril 2018 à 18:01
Lumière de bonheur qui envahit l'être
Lumière qui apparaît dans l'obscurité des êtres
Si chaleureuse, si heureuse, ton insouciance est maître
Tu resplendis, et de cette nouvelle vie, tu es le maître
Visiteur de mes pensées fondateur de mes nuits
De ton être je me languis
Plus rien, je suis soumis
À tes désirs je me plie
Pour te conquérir, tout est permis
Mon tous, mon rien, l'origine des miles et une nuit
Une vie sans toi n'est que mélancolie
Que faire à part vivre dans les dénis.
Me laisser emporter par l'euphorie
Soit témoins de ma folie
Sans toi je ne suis rien; sans toi je ne vis
De pleur se constitue mon quotidien, me voilà, je survis
Faire semblant que tu sois la
Faire semblant de sentir la joie
Faire semblant de t'avoir près de moi
Je suis faux mais je suis la
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Par Alexandra-chan le 14 Avril 2018 à 17:51
Bouge, ressens, entend, entreprend
Le rythme s’impose et je ne voie plus les choses
Il me crie : « entends-moi, je vais te rendre ta voie
Tu seras le roi, alors laisse-moi m’imposer en toi »
Je perds le contrôle, il se présente dans ce rôle
Mes sens me guident, le refrain m’enivre
Les paroles commencent, je suis sous hypnose
Comment peut-il me convaincre de vivre dans ce sens ?
L’air s’effrite, mon souffle s’amenuise
Je suis perdu, essaierais-tu de me nuire ?
Laisse-moi reprendre mon souffle, Je n’y arriverais pas
Laisse-moi maitre de mon corps, tu ne me possèderas pas
Tu me pièges dans la décadence, c’est l’heur de ma déchéance
Tu t’imposes face à moi, je suis perdu, livré dans tes bras
Tu mènes la danse, tu me mènes loin du chemin
Des frissons me parcourent, je ne reconnais plus le refrain
Tu as gagné, maintenant je suis à ta merci
Mon esprit disparaît, je suis soumis loin de ce qui m’est permis
Démon qui me honte, unique raison de ma jouissance
Sais-tu le dilemme que tu m’imposes en ta présence .
Tu l’ignores, tu en ries et me le montres sans prévenance
C’est de ma faute, alors je dois le supporter sans réticence
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Par Alexandra-chan le 14 Avril 2018 à 17:49
Ce fut un jour ensoleillé
D’une poubelle, j’avais pris les attraits
Riant comme une hyène, je me baladais
Avec ma best, on s’amuser
C’est alors qu’il s’est approché
D’un look plus que spécial, il était attrayais
Son sourire et son visage ne fessaient guère l’unanimité
Pourtant il prit son courage à deux mains
Et de sa force en ne reconnut que le lien
Il voulut se confessait de la pire des façons
Il fut rejeté avec la plus belle des raisons
De lesbienne on prenait le titre avec passion
Et ces jambes le firent s’enfuir tel un lion
Nous riment en cœur à ce moment précis
Puis vers notre test nous dirigeant sans contrepartie
Le lendemain il baissa la tête à ma vue
Et ce jour-là, je compris que le respect m’était dû
Puis vins le jour où il se représenta
Et ce jour-là, il comprit que ces efforts vains
Et que son chapeau melon
N’était guère l’habit d’un donjuan
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Par Alexandra-chan le 14 Avril 2018 à 17:45
Le ciel est noir, aujourd'hui comme à l'accoutumer
Ni bleu, ni gris, ces deux-là ne sont que des mirages dans je me languis
De cette couleur se teint ma vie et mon esprit
Simple idée, mensonge éhonté, tous a la recherche de la vérité
J'avance l'esprit lessivé par les tourments et leurs brûlures
Qui suis-je? où suis-je? j'en oublie mes tournures
Mon scripte se déchire, un manuscrit illisible
Mon existence s'efface, en quoi suis-je utile?
Pleuré, crié, hurlé, voilà tout ce qui me permet de suffoquer
Que suis-je censé espérer quand tout me laisse sombrer?
Perdu, l'avenir, un mot sans sens dans je me suis lassé
Si ce n'était que lui, je ne me serais pas laissé aller
Prendre les armes, j'aurais fait et vers la victoire j'aurais fièrement avancé
Mais si le future et mon ennemi, le passé une envie oublié
Mon présent et lui le pire coincé entre ces deux endroits que je maudis
Je ne suis qu'un masque, une simple utopie
Vous pensez me connaitre mais vous ne faite que m'ignorait
Si je me montre, on risque de m'exiler
J'ai tenté mais c'est au-delà de mes pensées
Je hais ce monde; je hais cette destinée
L'impression de vivre en léthargie
Ici, on peut dire adieu à toute notre énergie
Me montrait ? et pourquoi? m'usurper mon identité
Me changer, m'humilier où au mieux me critiqué
Ce monde est pourri, je le sais, c'est pourquoi je survis
Ne vous en fait pas, je vais me taire et continuer à avancer
Faire comme si de rien étais et sourire, je ne vais pas vous gêner
Dire le fond de mes pensées pourrait vous choquer
Je me terrais donc et continuerais à avancer
Comme le parfait automate, l'enfant idéal que vous désirait
Je porterais ce masque quitte à l'user
Souriez donc; personne ne va vraiment parler
Nous sommes tous des être soumis donc nous allons nous résigner
Vivre la vie que vous nous avait tracés
Sans le moindre geste qui serait contraire à vos projets.
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